Vivant 2
Deux petites tables et une dizaine de places au comptoir de marbre face au cinq cuisiniers. Accueil frimeur à la japonaise avec un « bonsoir monsieur » lancé en chœur: la clientèle, essentiellement touristique, est immédiatement séduite et fera, toute la soirée, assaut d’émerveillement devant chaque plat et chaque verre. Les amateurs de cru seront à la fête: quatre plats crus ou à peine « snackés ». Les produits sont incontestablement de grande qualité, des morceaux dit « de ménage » acquièrent de la noblesse (paleron) mais les portions sont un peu congrues et les prix diamétralement à l’opposé. Grande carte des vins revendiqués « nature » (sans l’être toujours) allant fouiner jusqu’en Serbie ou en Croatie. À noter: les coordonnées bancaires demandées dès la réservation et un prélèvement de 60€ effectué pour une annulation à moins de 24 heures. Et si Vivant 2 est plein, plan B au Déviant, stand de street food proche, également cornaqué par la bande Touitou/Lacombe. Pas de table, pas de siège mais un comptoir où l’on joue des coudes: portions de 5 à 19€ et vins de la même eau qu’à côté.
Thon rouge à la flamme, poutargue, verjus - Canard sauvage en deux cuissons - Crème à la bergamote.

Richer (Le)
Le jour où Charles Compagnon, patron également du 52 Faubourg Saint-Denis, donnera des directives à son personnel pour mettre fin à ses marottes imbéciles, à savoir ne pas changer les couverts entr
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Abri
Ici, le chef n'a plus à faire ses preuves : bon technicien, il l'est, créatif aussi. Mais le génie justifie-t-il de maltraiter les clients ?
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Eels
Les places sont chères au déjeuner dans cette table du faubourg, ample, logée dans de hauts volumes contemporains (et le niveau sonore élevé qui en découle) traités de sobre manière, blanc, pierre
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Mâche
Vingt six ans, un métier appris auprès de chefs formateurs comme Pascal Barbot à l'Astrance ou Geoffroy Maillard à la Table d'Eugène, une bonne quarantaine de pays depuis
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Bistrot Kinzo
On le sait, la diaspora des chefs japonais est désormais solidement ancrée dans le paysage culinaire parisien. Mais Edouard Uchiyama, patron de ce bistrot, est un échappé du peloton.
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Kémia
Le carrelage mural de la cuisine ouverte donne le ton à ce bistrot qui a remplacé un japonais en juillet dernier : multicolore, chaleureux et enjoué.
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