Pantobaguette

On s'amuse ici. Un drôle de nom (contraction des prénoms des cinq fondateurs), une enseigne sous forme de cylindre qui tourne àtoute berzingue, des néons roses flashy, un comptoir qui n'en finit pas et du rap américain à fond. Le service suit le rythme et le tutoiement n'est jamais loin. Par contre, quand il s'agit du contenu des petites assiettes, là, ça devient du sérieux. Ces tapas (rassurez-vous de très bonne taille) bénéficient d'un soin remarquable et d'une personnalité bien définie. Le Japon et la Corée modernes s'invitent pour mettre en avant des produits de la mer de qualité. Les cuissons au binchotan, les assaisonnements puissants où le wasabi, le soja ou encore la coriandre ne sont jamais loin pour ces recettes pas vraiment traditionnelles et complètement décomplexées. Adepte de la vogue du "zero déchet", le corail des saint-jaques travaillé en tempura est préparé avec les barbes. De magnifiques moules de Galice justement cuites et gorgées de jus s'accompagnent d'une sauce coréenne gentiment relevée avec des piquillos fondants. Finalement, ce sont sans doute les œufs mayo qui résument au mieux l'endroit : trois moitiés comme l'exige la tradition, avec un jaune crémeux, une mayonnaise au wasabi, huile de basilic, salicorne œufs de truite qui donnent une vigueur rare à l'ensemble. Côté vin, on déniche aussi des pépites - forcément nature - qui s'acclimatent très bien dans cet environnement.
Œufs Ajitsuke, mayo wasabi,œufs de truite, Furikake Xasabi - Tempura de corail de saint-jacques, sauce vierge - Tourteau, chou fermenté, coriandre, zeste de combava - Takoyaki, mayo mirin BBQ, katsuobushi, ciboule - Kiwi vert, madeleine kaffir, mousse miso blanc et miel de ronce.

Fana Bistro
Dans cette toute nouvelle rue piétonne, un nouveau bistro vient d'ouvrir avec à sa tête une association de deux chefs de talents, l'un pour la partie salé et l'autre pour les gourmandises sucrées.
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B.O.U.L.O.M
On ne saurait trop remercier le restaurateur landais Julien Duboué d'avoir rendu ses lettres de noblesse à un concept en voie de disparition dans la capitale : le buffet.
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Maquis (Le)
Ne pas se fier au nom de l'établissement (malgré quelques incursions méditerranéennes, les plats n'ont ici rien de corse) ni même à la façade rouge basque dont l'enseigne s'annonce trompeuse (Cave
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Pagaille
Le registre ici s'annonce « solaire », avec des touches iltalo-hispano-lusitaniennes, voire louchant vers le Maghreb (pintade fermière, jus au citron confit, coulis de roquette).
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Atelier Ramey
Bien en adéquation avec l'enseigne, cet Atelier a tout d'un atelier avec ses briques et pierres apparentes, ses tuyaux géants au plafond, ses chaises Tolix, sa cuisine vitrée en fond de salle et se
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Fichon
Dans ce décor aux allures de vieille poissonnerie, honneur aux vins bio et aux produits de la mer. Le chef japonais concocte des assiettes légères, toujours plaisantes tant à la vue qu'au goût.
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