Ami Louis (L')
Les années passent et cet Ami Louis connaît un succès jamais démenti. Le vieux poêle en céramique, les boiseries, le nappage comme au bon vieux temps, sans oublier le service un poil impertinent expliquent pourquoi tant d'étrangers et de Parisiens aiment y faire un voyage nostalgique, à défaut d'être gastronomique. Car la cuisine est restée bloquée sur les canons d'après guerre, ceux qui faisaient qu'une grande table se devait d'être généreuse. À l'excès, car le poulet ici servi nourrirait toute une tablée, comme le foie gras, les frites, le gratin … Sur la carte des vins, Bordeaux marque son emprise quand les digestifs sont souvent sollicités, ne serait-ce que pour aider à digérer. Ou à accepter une addition parmi les plus ambitieuses de Paris.
Confit de canard froid - Côte de veau grillée - Baba au rhum.

Enfants Rouges (Les)
Beau décor: tableaux modernes, bois flottés peints, mobilier de bois et deux petites tables à plateaux de carreaux de faïence peints et piétement de fonte.
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Istr
Pierre-Michael Smague et Philippe Morin animent le lieu avec professionnalisme et une extrême bienveillance.
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Qasti
On connaît Alan Geaam et son restaurant gastronomique qui aime enrichir son registre de quelques clins d'oeil à ses origines libanaises.
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Parcelles
Après l'ouverture de la cave juste sur le trottoir d'en face au printemps dernier, c'est au tour du bistrot de faire ses premiers pas.
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Verre Volé (Le)
À la souche de l’arbre généalogique des caves à manger, avec un fond d’un bon millier de vins « nature » tournant sur la carte et une sélection réduite de vins au verre à prix doux (6,50€).
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Enfants du marché (Les)
Dans l'histoire de la gastronomie parisienne, il y aura un avant et un après les Enfants du Marché.
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