Physalis (Le)
Bistrot

Physalis (Le)

Un bon bistrot

À proximité du périphérique et donc de Paris, une adresse inattendue avec terrasse, carte façon brasserie mais aussi espace pour réception. En cuisine, Antonio da Costa vit pleinement sa passion, proposant une carte qui change au gré de ses envies et comporte également les incontournables ou basiques qui fédèrent de nombreux habitués, notamment à l'heure du déjeuner. 


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Barbezingue (Le)
Bistrot

Barbezingue (Le)

Un bon bistrot

Outre le bistrot au rez-de-chaussée, la table d’hôtes à l’étage ou le bar à copains, libre à vous de profiter de l'adresse de Thierry Faucher pour également jouer au trinquet ou à la pétanque. Car ce chef, bien atypique, a voulu son Barbezingue convivial et généreux. Pari plus que réussi, il aime accueillir quitte à laisser la brigade évoluer seule en cuisine et interpréter le registre qu'il a appris auprès de Christian Constant, période Crillon. Jus de civet inédit accompagnant une dorade parfaitement cuite, soupe onctueuse, caille rôtie, il y a ici beaucoup de sincérité et un réel talent. Tout aussi fréquentable que le bistrot, la table d'hôtes avec le buffet à volonté facturé 25€ est à connaître pour se retrouver en famille ou entre amis. 


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Coq & Fils (Le)
Bistrot

Coq & Fils (Le)

Un des meilleurs bistrots de la ville

« Bistrot des belles volailles »: seuls les esprits mal intentionnés et nostalgiques du quartier chaud de Pigalle imagineront qu’il s’agit ici d’autre chose que d'oiseaux à plume. Sauf week-end, le semainier s’arrache au déjeuner (coq au vin le mardi, saucisse de volaille grillée le vendredi), mais c’est la grande carte qui aimante l’attention: variations autour des œufs (mollet, poché, mimosa), des foies et terrines, soupes et salades, avant de voler dans les plumes de la « noble-basse-cour »: canard, pigeon, pintade, caille, canette, poules de races anciennes avec passeport prestigieux (Challans, Dombes, Bresse, Landes…) et éleveurs répertoriés au Who’s who. Carte de vins classiques, un peu chère (9€ le verre).

 

 


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Dilia
Bistrot

Dilia

Un des meilleurs bistrots de la ville

La façade d'angle,blanche, est tellement anodine (de style pizzeria ou couscous années 70), qu'on se demande même ce qui peut s'y planquer derrière. Dilia, tout simplement et quasi définitivement l'une des meilleures trattoria de la capitale. Sans aucune circonvolution décorative à l'intérieur, murs blancs, briques, pierres apparentes, petit comptoir cuivré, parquet râpé, tomettes, le tout pour une vingtaine de convives au coude-à-coude (multipliés par deux en terrasse estivale) et qui montent à l'assaut en 5 minutes montre en main, dès que l'huis s'ouvre. Pas seulement pour les tarifs plutôt plancher au déjeuner en semaine, mais pour les assiettes enlevées, originales, créatives, concoctées par Michele Farnesi, ancien compagnon de route de Giovanni Passerini (désormais dans le XIIème). Inutile de chercher ici une filiation strictement régionaliste dans les propositions transalpines (mais pas que...) du jour (au dîner, on croise de l'anguille laquée, fromage blanc, kumquat confit, oignons et salade de feuilles amères! Voire du mulet noir, sauce hollandaise à la poutargue, chicorées et cédrat). Le chef mixe à sa manière, semble-t-il presque à l'instinct, ce dont il dispose, ou ce qui l'inspire, avec un réel talent. Pour preuve, ces raviolis maison de puzzano, un fromage des Dolomites, à la salade d'algues, oursin confit, le tout rafraîchi d'un fin bouillon de livèche; ou encore ces spaghettis alla chitarra, vrai plat de pauvre, assaisonnés d'un <ragoût à la magnifica>: un bouillon de chutes-arêtes-œufs de poissons liées à la crème, et relevé de citron et piment (de connivence sicilienne). Bref, l'assurance que ce que l'on découvrira ici, vaudra à la fois par son caractère, sa sapidité et sa rareté. Contrat également rempli en soirée et fin de semaine à travers un déroulé surprise allant de "5 à 7 passages", soit autant d'assiettes. Gilles Dupuis


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Bistrot du Maquis (Le)
Bistrot

Bistrot du Maquis (Le)

Un très bon bistrot

Quelquefois, il nous revient l'envie de se réconforter de madeleines bistrotières, mais pas que... André Le Letty, le patron de ce sage établissement (dominantes colorées bleu et blanc cassé, quelques assiettes bretonnes et de petits papillons aux murs...), se place effectivement et légèrement hors cadre de la tradition canaille qu'il pratique (harengs pommes à l'huile, civet de sanglier...), en tant que baroudeur de maisons de premier ordre, parfois aujourd'hui disparues (Prunier, la Marée, Taillevent, La Tour d'Argent...) dont il a retenu les grandes leçons classiques. A savoir coulis de langoustines pour des Saint-Jacques ou canard au sang en deux services, nantis de suppléments justifiés au menu. Pour autant, même s'il titille de tandoori son paleron de bœuf, il reste d'une stricte orthodoxie quand il trousse une terrine de sanglier, sorte de maître-étalon du genre, ou qu'il souligne de crème et de shitakés son filet de Saint-Pierre à la plancha. On sort de chez lui rasséréné et ravi, en jurant de tenter le drop du menu déjeuner semaine, caillette drômoise, bœuf bourguignon et gâteau au chocolat, pour 22 euros. Gilles Dupuis


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Bal Café
Bistrot

Bal Café

Un bon bistrot

Toujours beaucoup de charme pour ce (faux) Bal Café, installé dans un immeuble contemporain, consacré (en rez-de-chaussée) à l'image photographique (librairie, expositions...) et à ce bistrot-salon de-thé. Son atout principal? La localisation dans une impasse pavée d'un calme absolu face à un square où pépient les oiseaux. Côté cuisine, on a réduit la voilure (changement de cheffe) avec fermeture en soirée, excepté lors d'inauguration d'expos et la carte des vins affiche moins d'ampleur qu'auparavant, même si la sélection est judicieuse.


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Atelier Ramey
Bistrot

Atelier Ramey

Un bon bistrot

Bien en adéquation avec l'enseigne, cet Atelier a tout d'un atelier avec ses briques et pierres apparentes, ses tuyaux géants au plafond, ses chaises Tolix, sa cuisine vitrée en fond de salle et ses suspensions industrielles.Tout se cale à travers un menu-carte bien bâti à 39 euros, hors une côte de boeuf pour deux. Manquent cependant en semaine une formule et un menu au déjeuner plus "classe économique", qui rendrait l'endroit davantage attrayant lors des douze coups de midi. Au total, un registre bistrotier correct, sans envolée lyrique, mais sans chausse-trappe pour les touristes en goguette sur les versants de la Butte.


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