Un bon bistrot
Une, deux, trois, quatre bouteilles de gentiane sont arrivées sur la table. Toutes bien meilleures que la bonne vieille Suze, elles ont chacune leur amertume, leur intensité, leur douceur propre. Impossible de choisir sa meilleure sans les regoûter, une fois, deux fois, trois fois, dans le dos du patron qui n’est dupe de rien. Notre préférence : celle de Louis Couderc, "naturellement intense". Et voilà, un repas qui s’annonce bien ! Sous le regard de Plastic Bertrand, une serviette bien blanche autour du coup, tout est permis, en particulier le pot-au-feu et les quenelles, mais aussi la terrine, et le mont blanc et la tarte aux pralines et, et, et…