Troquet (Le)
Bistrot

Troquet (Le)

Un bon bistrot

L'ancien repère de Christian Etchebest qui a depuis développé à Paris plusieurs Cantine du Troquet, joue avec bonheur le bistrot nostalgique. Banquettes en moleskine, chaises et tables d'époque, comptoir ancien, ce troquet ne manque pas de panache. Ni de gourmandise car Marc Mouton réussit comme nul autre les plats de tradition, souvent mâtinés de touches béarnaises : tête de veau sauce ravigote, soupe à l'oignon, civet de sanglier ou profiterole. Rien pourtant de passéiste dans l'assiette à la présentation soignée et aux saveurs toujours enlevées. Une adresse à connaître absolument. 


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Essentiel (L')
Bistrot

Essentiel (L')

Un très bon bistrot

Ce bistrot de quartier qui ne paie pas de mine ménage quelques vraies surprises, avec son service bon enfant et son look anodin. Épluchez bien l'ardoise généreuse, vous ne serez pas déçus. Et si vous passez par là au déjeuner, jetez-vous sur la formule, une occase à ne pas rater.


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Ardoise du XV (L')
Bistrot

Ardoise du XV (L')

Un très bon bistrot

Maître-Restaurateur, Maxime Vilatte a été formé notamment par Joël Robuchon et Philippe Legendre. Cet héritage saute aux yeux dans l'assiette qui va à l'essentiel et impressionne par la perfection des cuissons (canette rôtie) ou des assaisonnements (vierge de légumes), comme par le choix de l'accompagnement (pommes de terre grenailles, panais et pleurotes). Le bonheur tient ici aussi à Marie qui reçoit avec beaucoup de simplicité et d'à propos dans un espace resté lumineux et chaleureux. Un coup de cœur évident. 


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41 Pasteur (Le)
Bistrot

41 Pasteur (Le)

Un très bon bistrot

La petite terrasse pour les beaux jours se montre bien tentante, mais, à l’intérieur, le décor sobre que met en scène les beaux flacons alignés sur les étagères et les tables espacées, accueille avec un confort certain. Le menu joue un répertoire classique mais le chef sait nous étonner. Le saumon mariné, par exemple, s'accompagne d’un sorbet à la menthe fraîche et concombre, et de chou blanc. La pièce de bœuf (tendre et cuisson juste) servie avec pommes grenailles et fricassée de champignons, s'apprécie aussi pour son  fond brun (48 heures de cuisson avec os de veau, puis 30 minutes de macération d’une réduction de vin rouge et oignons). Le tiramisu trouve son envol avec la farandole de fruits de saison (framboises et fraises gariguettes). La carte des vins permet à chacun d'y trouver son compte. Et touche appréciable s'il en est, la présence du chef Jean Marie Burnet, déjà étoilé dans d’autres établissements, qui aime regarder ses clients sympathiser, voire les retrouver sur la terrasse pour refaire le monde.


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Rouquins (Les)
Bistrot

Rouquins (Les)

Un bon bistrot

« Nous on s'en fout, buvons un coup / Que chante enfin l'âme du rouquin »… Léo Ferré aurait aimé passer de la cave des Crus du Soleil, vouée aux vins du sud, à la grande terrasse isolée des Rouquins. Au déjeuner, des propositions réduites, bien calées; le soir une carte démultipliée avec des plats à partager, sourcés et pouvant faire la nique à des adresses huppées. Bon choix de vins du sud (avec une quinzaine au verre, de 5 à 10€). Service sympa connaissant ses vins sur le bout de la langue (et sans pédanterie nature!).

 


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Galia
Bistrot

Galia

Un très bon bistrot

Dès l'âge de sept ans, le petit Maxim accompagnait sa "mémé Noëlle" dans les grandes propriétés de Sologne où elle cuisinait pour les chasseurs et leurs invités. Le petit garçon de mère française et de père vénézuélien découvre alors sauces et longues cuissons dans les offices des châteaux. De l'autre côté de l'Atlantique, Maruja, la grand-mère paternelle, l'initie aux saveurs d'Amérique du Sud. Une vingtaine d'année plus tard, après sa formation à l'école Ferrandi, Top chef et une expérience chez des étoilés, Maxim ouvre son restaurant en 2015, Galia, en hommage à la Gaule et à sa cuisine. La restauration demeure une affaire familiale car il travaille avec son épouse Marie-Eugénie en salle. Maxim assure seul les 38 couverts et la plonge depuis les derniers évènements, d'où une carte réduite et qui change tous les mois. "Mais demandez le hors-carte, les rognons au café vénézuélien, les calamars laqués à l'orange, la langue façon blanquette..."  Si vous avez le temps, le menu dégustation en six services laisse la part belle à la créativité du chef, qui définit son art comme "une gastronomie française, avec des condiments, des fruits et des agrumes de mon autre pays". Deux constantes: le ceviche et le rhum arrangé avec zestes d'orange et clémentine, cannelle, badiane et graines de coriandre. Et si ce paisible restaurant proche du tramway Didot défend une décoration vite vintage avec papier peint noir et doré, fresque de Pompéi et plante en plastique, les couleurs et les saveurs y sont vigoureuses dans l'assiette, avec des notes sucrées assumées. Une authentique adresse de fusion culturelle et culinaire à découvrir. 


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Augustin
Bistrot

Augustin

Un bon bistrot

Un agréable bistrot, plus proche du resto et qui adopte des allures de brasserie (petit déjeuner de 8 à 11 h, 9€; grignotage de 15 à 18 h, de 12 à 21€). De la lumière au travers des grandes baies vitrées, et pour décor sur des étagères, des assiettes, plats, soupières, saladiers de porcelaine blanche. Pour 39€, une carte menu d’honnête facture avec quelques accents corses, en particulier pour les vins.

 


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Simone
Bistrot

Simone

Un très bon bistrot
♥︎

Ici, on profite aux beaux jours de la grande terrasse qui permet de doubler la capacité et, en hiver, de l'atmosphère reposante avec notes jazzy et superbe photographie de Nina Simone. Depuis sa reprise en 2016 par Mathia di Gino, ce bistrot joue de plats vifs et précis concoctés sous les yeux des clients grâce à la cuisine ouverte sur la salle d'une quinzaine de places, mais aussi de beaux produits de saison se déclinant dans des contrastes terre et mer (haddock / betterave) ou des associations à l'évidence gourmandes (fregola Sarda / chorizo / ossau iraty). On prend également plaisir à parcourir la carte des vins qui souligne malicieusement les quelques références présentes issues de l'agriculture conventionnelle. 


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Comptoir sur mer (Le)
Bistrot

Comptoir sur mer (Le)

Un bon bistrot

Carrelage au sol et sur le murs, une vingtaine de places au bar et sur les deux tables d’hôtes, quelques places encore sur le trottoir. Depuis sa cambuse ouverte surélevée, Olive Davoux (épaulée au service et aux vins par Claire) tient la barre de ce caboulot exclusivement dédié aux poissons, coquillages, crustacés et céphalopodes. En version tapas colorées (c.a.d. portions réduites « à partager »), des produits très frais, scrupuleusement sourcés, taquinés par des agrumes ou quelque touches épicées. Parfois des raretés (foie de lotte). En bande son en sourdine, la playlist perso d’Olive (hip-hop et rap de Hi Tek ou Pete Rock). Le samedi et le dimanche, entre les services, (de 15 h à 19 h 30), dégustation d’huîtres et de coquillages et vente à emporter (sur réservation). Carte des vins  (tendance « nature » mais personnelle, judicieusement expliqués). 

 


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