Espadon (L')
En plus de ses bars, l’hôtel Ritz propose, sous la houlette du chef Nicolas Sale, une table gastronomique qui évolue au fil de la journée. Signalons donc que, le matin, on y sert un magnifique petit déjeuner et le week-end, un remarquable brunch. En semaine, le midi, « Les jardins de l’Espadon » offre une carte gastronomique à découvrir sous une superbe verrière dont le toit s’ouvre dés les beaux jours. Pour le dîner, « La Table de l’Espadon » prend le relais avec une cuisine de haute volée proposée dans la belle salle au décor néo-classique. Cette année, nous nous sommes donc attablés aux « Jardins de l’Espadon ». Ambiance décontractée et chic, service à la française sympathique et parfaitement attentif, sommelier avisé, en plus du cadre agréable, tout était là pour faire de ce repas un vrai moment de détente. Ceci d’autant plus que, dans sa courte carte composée de trois ou quatre entrées et d’autant de plats et de desserts, Nicolas Sale signe une cuisine aussi gourmande que précise avec, par exemple, de belles cuissons. En témoigne cette dorade grise poêlée et ses légumes parfaitement croquants accompagnés d’une diabolique béarnaise de coquillages qu’il est impossible de ne pas saucer avec l’irrésistible pain maison. Au dessert, la meringue praliné-noisettes avec sa crème accompagnée de parmesan râpé et d’une sauce citronnée imaginée par le chef pâtissier François Perret surprend et en même temps réjouit avec ce goût qui fait penser à l’« umami », cette fameuse cinquième saveur japonaise. Avec sa cuisine moins démonstrative que celle proposée, à partir de 195 €, le soir, à « La Table de l’Espadon », « Les jardins de l’Espadon » est une de nos tables "coup de cœur" avec une impeccable et presque raisonnable formule à 95 €.
Foie gras mi-cuit et amandes fraîches - Dorade grise poêlée, légumes printaniers au jus de coques, béarnaise de coquillage (sauce délicieuse) - Canette de Challans, carotte et physalis, jus relevé au gingembre - Pressé de beaufort et viande des grisons, jus de viande - Meringue praliné-noisettes, crème onctueuse, parmesan râpé et sauce citronnée.

Restaurant le Meurice Alain Ducasse
Il y a un côté Versailles qui marque dès les premiers pas dans cette salle à manger de l’hôtel Meurice.
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Carré des Feuillants (Le)
Une entrée illuminée de 250 bouteilles de grands armagnacs, des milliers de bouteilles en cave, des lustres de Murano, une compression de César, des œuvres de Tapiès, Christoforou, Alechinsky, Lapi
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Pur' (Le)
Jean-François Rouquette est un chef dont on ne parle pas assez.
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Sur Mesure
Thierry Marx est un personnage à part dans le monde de la gastronomie, tant par son parcours personnel que par ses prises de position en faveur de l’apprentissage ou de la réinsertion sociale.
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Ao Izakaya
En fait d’izakaya, l’établissement de Yasuo Nanumi est un véritable restaurant lumineux, jouant sur le bois et le bleu (ao, en japonais), du dernier chic parisien. Nulle ardoise griffonnée.
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Jin
Une dizaine de couverts disposés autour d’un sobre comptoir en angle qui réunit de nombreux fans du grand prêtre des lieux, Takuya Watanabe.
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